Clifward a écrit:"Tout est permis en faveur de sa propre cause, même la mauvaise foi."
Citation de Henri-Frédéric Amiel ; Fragments d'un journal intime (1821-1881)
@Clifward Tes piques non argumentées ressemblent plus à du troll jetant de l'huile sur le feu qu'autre chose, tu sais...
TheMachine02 a écrit:Quoi que vous avez voulu dire, ce passage est injurieux - au sens juridique même du terme. Je vous invite à lire https://www.service-public.fr/particuli ... its/F32077 qui dit exactement ceci :. Alors peut-être que vous le considérez pas comme injurieux, mais moi, et d'autres considèrent (peut-être à raison ?) que ce passage est largement déplacé.Une injure est une invective, une expression vulgaire ou méprisante, non précédée d'une provocation et qui ne vous impute aucun fait précis. L'expression employée à votre égard ne peut pas être vérifiée.
En effet, cela rejoint un peu ce que je pensais.
"non précédée d'une provocation"
Le post étant le fruit d'années de provocations dont tu n'as pas idée, et notamment de trois dernières très graves incorrections encore pires que les précédentes.
"et qui ne vous impute aucun fait précis"
Les faits au pluriel ont été détaillés dans le post en question, et nous en avons un peu reparlé ici.
Légalement, le caractère injurieux n'est donc pas fondé.
TheMachine02 a écrit:Et oui - vous n'avez pas dit que les autistes étaient débiles, mais ce n'est pas le point que STV voulait soulever, c'est que dire d'une personne qu'elle est "autiste" et "débile" n'est pas appropriée, en publique (et même en privé d'ailleurs, ça change rien).
C'était justement pour bien marquer que les 2 mots étaient 2 choses différentes et non liées.
Aucun mépris de ma part envers les autistes, au contraire il leur faut beaucoup de courage.
Mais ce que l'on peut pardonner à un autiste, n'est pas pourtant pardonnable à une personne non affectée - d'où la volonté de faire réagit quan tout autre moyen de communication a échoué.