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NumWorks Nouvelle mise-à-jour NumWorks 1.3.0

New postby Admin » 01 Feb 2018, 14:42

Depuis sa sortie pour la rentrée 2017, le développement de la calculatrice NumWorks s’était concentré sur des fonctionnalités novatrices encore jamais vues sur un modèle de milieu de gamme, et parfois même révolutionnaires tout court :
  • une application de probabilités polyvalente et très intuitive car parlant le langage des élèves :bj:
  • un environnement complet de développement Python :bj:
  • un moteur de calcul littéral :bj:
  • basé sur le précédent, un moteur de calcul exact complet, car non limité à un petit nombre prédéfini de formes remarquables contrairement aux autres modèles de milieu de gamme :bj:
Mais comme nous l’avions vu dans notre classement de rentrée QCC 2017, sur l’ensemble d’autres critères moins poussés la NumWorks était plus décevante, se comparant plutôt à l’entrée de gamme.

La nouvelle version 1.3.0 du firmware NumWorks sortant ce jour s’attaque à ce dernier point, et améliore de façon transversale nombre de fonctionnalités.
Voyons ensemble ce que ça donne pour chaque application :
Image Image Image Image Image Image Image Image




Application Calculs numérique, exact et littéral :Go to top

Du côté du moteur de calcul littéral et exact de l’application Calculs, nous bénéficions d’une meilleure simplification des logarithmes en base quelconque, et enfin du développement automatique des puissances de sommes ou différences. De plus, la touche
Ans
permettant de réutiliser le dernier résultat dans la saisie d’un calcul devient enfin fonctionnelle dans le contexte de résultats exacts et littéraux, ce qui facilitera nombre de manipulations.

Du côté du moteur d’affichage naturel, nous notons une amélioration en lisibilité de l’écriture des puissances qui était jusqu’alors assez contrastée avec celle des indices.

On apprécie l’arrivée de nouvelles fonctions dans la boîte à outils, dont enfin deux fonction de simulation :
  • random() qui renvoie un nombre aléatoire sur l’intervalle [0;1[
  • randint(a,b) qui renvoie un nombre entier aléatoire sur l’intervalle [a;b]
  • factor(n) qui effectue la décomposition d’un entier en facteurs premiers

De façon très pertinente depuis la dernière version, la réponse à un calcul pouvait être fournie sous forme d’une paire de résultats, l’un en écriture exacte et l’autre en écriture décimale. De quoi faire progresser l’utilisateur sur sa compétence Représenter, en mettant ainsi en évidence le lien qui les unit au lieu qu’il doive basculer manuellement de l’un à l’autre, et de façon pas toujours intuitive comme sur d’autres modèles. Toutefois, un problème était que ces deux résultats étaient systématiquement liés par le symbole environ, ce qui n’était pas toujours une notation correcte.
Désormais dans la nouvelle version, les paires de résultats utilisent le symbole environ ou égal adéquat. C’est bien mieux pour l’utilisateur, lui permettant non seulement de recopier sans crainte des réponses qui seront bien considérées comme exactes selon tous les critères de compétences, mais également sa leur propre compréhension du langage mathématique et sa compétence Communiquer qui va avec. :bj:

Niveau corrections de bugs, on peut citer la fonction inverse() qui certes fonctionnait quand on lui donnait une matrice, mais donnait une réponse assez originale quand on lui fournissait un nombre, multipliant l’inverse attendu par undef×i. Problème désormais corrigé.

Il y a aussi la fonction de calcul du nombre dérivé diff() qui dans certains cas renvoyait n’importe quoi pour la fonction valeur absolue, chose désormais corrigée.

D’ailleurs à ce sujet, l’algorithme interne de calcul du nombre dérivé semble avoir été profondément modifié, résistant dans la majorité des cas beaucoup mieux lorsque l’on tente de le piéger.

Enfin, comme Calculs devrait être l’application la plus utilisée, notons qu’il est maintenant possible d’y revenir très rapidement depuis une autre application grâce à un nouveau raccourci. Il suffit pour cela de taper
Maison
2 fois de suite puis de valider.



Application Fonctions :Go to top

Dans l’application Fonctions, nous notons déjà un affinage des axes sur la vue graphique, ainsi qu’un tout nouveau curseur, et un décalage sur la gauche des valeurs affichées lorsque le nombre dérivé est activé, évitant ainsi de tronquer la valeur de ce dernier dans certains cas.

On voit de plus que l’affichage du nombre dérivé pour la fonction valeur absolue bénéficie de la même correction déjà abordée pour l’application Calculs.

Rappelons que lorsque le curseur est activé sur cette vue la calculatrice nous invite à taper
OK
pour accéder à un menu contextuel.

Et bien il y a du nouveau dans ce menu contextuel, avec un nouveau sous-menu Calculer permettant de :
  • Rechercher et afficher des points remarquables (minimum local, maximum local, point d’intersection entre deux courbes, zéro soit point d’intersection avec l’axe des abscisses). Notons que contrairement à d’autres modèles, quand il existe plusieurs points répondant au critère sélectionné, l’on peut passer intuitivement de l’un à l’autre avec les flèches sans aucun besoin de reproduire toute la manipulation.
    On comprend d’ailleurs maintenant la raison d’être du nouveau curseur, sans lequel les points correspondant aux zéros auraient été fort mal mis en évidence.
  • Tracer et déterminer l’équation d’une tangente. On apprécie le rappel de la forme de l’équation accompagnant les valeurs de a et b, contrairement à d’autres modèles. :bj:
  • Calculer et représenter graphiquement la valeur d’une intégrale. On apprécie d’ailleurs dans ce cas le fait d’être guidé en direct lors de la sélection des bornes, par une indication textuelle en français, par la représentation graphique de l’aire correspondante, et aussi par une représentation en écriture naturelle de l’intégrale en bas à gauche pouvant permettre de vérifier si l’on est bien en train de spécifier ce que l’on pense. Un choix très pertinent qui tout en aidant l’utilisateur permettra de perfectionner sa compétence Représenter. :bj:




Application Suites :Go to top

Dans l’application Suites, quand on accède aux propriétés en sélectionnant son nom et faisant
OK
, on a désormais accès à une nouvelle option librement modifiable : l’indice du premier terme. De quoi s’adapter d’une part aux quelques exercices qui nous proposeront de temps en temps des suites ne démarrant pas au rang 0. Mais cela va bien plus loin que ça, car c’est aussi d’autre part une façon pour la calculatrice de s’adapter aux usages de différents pays. En effet, si la plupart des suites démarreront au rang 0 chez nous, en Amérique du Nord ce sera au rang 1.

Enorme nouveauté, il devient enfin possible de travailler sur des suites auxiliaires, c’est-à-dire des suites définies en fonction d’une autre, situation qui tombe quasiment chaque année au BAC. Avec cette amélioration tant attendue, on peut enfin qualifier la calculatrice NumWorks de conforme aux programmes de Première et Terminale, et la recommander sans réserve.

L’application Suites bénéficie de plus dans sa vue graphique de l’affinage des axes décrit plus haut pour l’application Fonctions.




Application Paramètres :Go to top

Il y avait un petit problème événementiel dans l’application Paramètres. Lorsque l’on validait un nouveau choix de nombre de chiffres significatifs, il n’était plus possible de changer d’avis et de valider les choix Automatique ou Scientifique. Du moins pas sans quitter puis revenir à cet écran. Problème désormais corrigé.




Applications Statistiques et Régressions :Go to top

Les application Statistiques et Régressions bénéficient elles aussi dans leurs vues graphiques de l’affinage des axes décrit plus haut pour l’application Fonctions.




Application Probabilités :Go to top

Un problème avec l’application Probabilités évoqué par certains enseignants aux journées APMEP, était la précision des résultats, limités à 3 décimales et non 3 chiffres significatifs. C’était embêtant dans le cas de probabilités très faibles, la calculatrice pouvant même retourner à tort une probabilité nulle. La nouvelle version corrige ce problème, la précision ayant été doublée avec dorénavant jusqu’à 6 décimales.

En conséquence de la taille d’affichage pouvant donc être accrue, les différents champs numériques permettant de saisir les données ou afficher les résultats ont désormais une taille variable, s’adaptant automatiquement à leur contenu. Fort appréciable dans le cas des intervalles, la relation de probabilité affichée contenant alors 3 champs numériques au lieu de 2.

Sur la relation de probabilité affichée, l’utilisateur avait le plus souvent le choix entre :
  • sélectionner et saisir la ou les bornes de la variable aléatoire X pour obtenir la probabilité
  • sélectionner et saisir la probabilité pour obtenir la ou les bornes de la variable aléatoire X
Notons que le 2ème choix n’est pas toujours offert dans le cas de relations du type P(?≤X≤?)=?, car il y a parfois plusieurs solutions et pas de critère permettant d’en privilégier une. La calculatrice permet par exemple d’obtenir les 2 bornes d’un intervalle à partir d’une probabilité dans le cas de la loi normale. Mais elle ne le permet pas dans le cas des lois binomiale, uniforme, exponentielle et de Poisson.
Même remarque pour les relations du type P(X=?)=? dans le cas des lois discrètes (binomiale et de Poisson).

Ce n’est pas un problème en soi, mais cela avait une conséquence assez embêtante. Nombre d’utilisateurs ont pris l’habitude d’utiliser
shift
copy
pour copier les valeurs numériques puis
shift
paste
pour les coller dans une autre application, Calculs par exemple, afin de pouvoir continuer à travailler dessus pour la suite de leur exercice.

Or, dans les situations où la calculatrice ne permettait pas la saisie de la probabilité, il était tout simplement impossible de sélectionner sa valeur pour la copier, obligeant donc à la retenir de tête ou à la copier temporairement sur un bout de papier, le temps de changer d’application.

Ce problème est désormais résolu lui aussi. Tous les champs numériques des relations, même ceux non modifiables, peuvent dorénavant être sélectionnés et copiés.

Enfin, comme visible ci-dessus, l’application Probabilités bénéficie elle aussi pour son interprétation graphique de l’affinage des axes décrit plus haut pour l’application Fonctions.




Application Python :Go to top

Comme l’application Fonctions et conformément aux programmes scolaires de l’enseignement secondaire, l’application Python permet désormais d’effectuer des simulations, grâce à l’ajout d’un tout nouveau module à importer, random.

En plus des guillemets, les chaînes de caractères deviennent délimitables avec des apostrophes suite à l’ajout de ce caractère dans le catalogue. Il sera est donc maintenant possible d’alterner entre les délimiteurs selon le contenu de la chaîne, afin d’éviter ou limiter le besoin de faire appel au caractère d’échappement.

Dans le contexte des listes, le caractère ‘:’ permettant de référencer une suite d’éléments de positions consécutives est maintenant reconnu et parfaitement fonctionnel.

Les fonctions min() et max() déjà listées au catalogue deviennent également fonctionnelles dans le contexte de listes.

Et puis nous avons une toute nouvelle instruction d'entrée, input(), permettant d'inviter avec le message de son choix l'utilisateur à saisir une donnée en cours d'exécution d'un programme.

Enfin, parlons performances. Cela ne concerne pas que l’application Python mais c’est celle où peut aisément mettre en évidence les différences. La NumWorks était déjà dans sa version 1.2.0 précédente la calculatrice graphique la plus performante à ce jour. Il n’empêche que comme déjà annoncé, les performances de la calculatrice ont été en prime améliorées de façon significative depuis la version précédente, suite à l’acceptation de deux contributions au code source officiel :
Voici ci-dessous en vidéo ce que donne le tracer d’un même programme de fractale avec l’ancienne version 1.2.0 et la nouvelle version :
Code: Select all
from kandinsky import set_pixel
def mandelbrot(W,H,N) :
w=2.7/(W-1)
h=1.87/(H-1)
n=255.0/N
for x in range(W):
  for y in range(H):
   z=complex(0,0)
   c=complex(w*x-2.1,.935-h*y)
   for j in range(N):
    z=z*z+c
    if abs(z)>2:
     break
   set_pixel(x,y,255*65792*j+256)


L’ancienne version mettait donc 1min14s quand la nouvelle ne met plus que 54 secondes, une progression extraordinaire ! :bj:




En conclusion, la nouvelle version NumWorks ratisse large et apporte du bon biscuit à tout-le-monde. Avec notamment la gestion des suites auxiliaires, nous n’aurions plus aucune objection ou mise en garde à formuler auprès d’élèves de Première ou Terminale envisageant de s’équiper de ce modèle. La NumWorks est désormais en adéquation globale avec l’ensemble du programme scolaire du lycée français, félicitations ! :bj:




Liens :
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Examens Dates BAC, DNB et ECE 2018 Métropole enfin officialisées

New postby critor » 01 Feb 2018, 10:00

Le Calendrier 2018 de l'orientation et de l'affectation des élèves, du diplôme national du brevet, des baccalauréats, des certificats d'aptitude professionnelle, des brevets d'études professionnelles et des brevets de technicien vient tout juste d'être publié ce jeudi matin au Bulletin Officiel n°5 du 1er février 2018.


Il confirme pour la Métropole les dates d'épreuves écrites déjà annoncées pour le BAC 2018 et pour le DNB 2018, ainsi que pour les épreuves pratiques d'ECE du BAC S 2018 en Physique-Chimie et SVT.





Source : http://www.education.gouv.fr/pid285/bul ... _bo=125163 (avec les dates des épreuves d'ECE du BAC S 2018)

Examens Mode examen: le cahier des charges exigeait-il l'inégalité?

New postby critor » 31 Jan 2018, 22:19

Depuis avril 2015, nous n'avons eu de cesse de dénoncer la mise en place du mode examen sur les calculatrices graphiques :
  • Parce qu'en pratique il s'agit de rajouter une diode à la sécurité non fiable à des systèmes dont la sécurité ne l'est pas davatange.
  • Parce que conserver intact le contenu de la mémoire avec une diode qui clignote est enfantin sur certains modèles, et loin d'être impossible sur les autres.
    C'était donc l'Institution et à travers elle tous les français qui étaient en train de se faire avoir, à payer pour une sécurité imaginaire.
  • Parce qu'il donne le contrôle exclusif des données et fonctionnalités utilisables aux examens français à un oligopole d'entreprises américaines et japonaise (NumWorks n'existant pas encore à l'époque, mais c'est un détail).
  • Parce que tous les modèles ne se valent pas, et qu'en vidant complètement la mémoire le mode examen crée d'énormes inégalités entre candidats, supprimant des fonctionnalités rajoutées parfaitement légitimes sur les modèles d'entrée et milieu de gamme, alors que d'autres candidats équipés de modèles de milieu ou haut de gamme continueront à en disposer.
    Problème particulièrement remarquable dans le cas des constructeurs commercialisant plusieurs modèles à des prix distincts, et qui donc contrairement à d'autres ne donnent pas le meilleur à chaque modèle - voir notre série Inexamens 2018 pour plus d'informations à ce sujet.

Mais depuis quelques semaines, nous disposons du cahier des charges du mode examen, avec les critères que doivent respecter les constructeurs de calculatrices graphiques.

Alors que dit-il ? Exigeait-il vraiment noir sur blanc l'inégalité entre candidats ou est-ce les constructeurs qui ont mal compris ou fait au plus simple ? Voyons cela ensemble.



Après avoir abordé les possibilités d'échange de données avec ou sans fil dans 1er point, le cahier des charges aborde son 2ème point : "Le blocage de l’accès de l’utilisateur à toute information stockée dans l’appareil avant l’épreuve".


Notons bien le terme d'information qui pour nous renvoie au blocage de textes, documents et images statiques, et pas à celui de fonctionnalités mathématiques ou scientifiques programmées.

Précisons que nous n'avons strictement rien contre le blocage de vulgaires informations en mémoire.
Nous ne comprenons absolument pas l'apparente obsession de certains enseignants/surveillants pour le contenu mémoire des calculatrices. A notre sens il est impossible de réussir l'actuelle épreuve de Mathématiques ou Physique-Chimie du BAC par exemple, en consultant et/ou recopiant des informations préalablement stockées en mémoire. Les sujets qui tombent en sciences sont tous inédits. Même si cela peut changer à l'avenir, les sujets actuels n'exigent pas du bête par cœur, mais une mise en application intelligente des savoirs, savoir-faire, connaissances, capacités et compétences afin de résoudre un problème. Ceux qui peuvent réussir de telles épreuves en utilisant des documents seront ceux capables non pas de les recopier, mais de les comprendre et adapter afin de les transposer dans le contexte du problème. C'est-à-dire finalement ceux qui en auront le moins besoin.
Comme donc en pratique selon nous les informations en mémoire ne servent au mieux qu'à déstresser les candidats ayant développé des capacités d'adaptation et à rien pour les autres, nous n'avons jusqu'ici rien à objecter au cahier des charges.



Dans un 1er paragraphe introductif, le cahier des charges semble tout d'abord continuer dans le sens du ciblage des seules informations. C'est juste l'utilisation de la mémoire à des fins de permettre la "consultation d’informations (texte ou image) enregistrées avant l’épreuve" qui est à proscrire.




Dans un premier temps, le 2ème paragraphe continue certes en ce sens, en exigeant le "blocage de l’accès par l’utilisateur aux informations personnelles stockées au préalable".

Mais il se sent alors le besoin d'expliquer comment faire et c'est là que tout déraille puisque la suite du paragraphe exige littéralement le blocage de toutes les :
  • applications personnelles
  • remarques
  • données "scratchpad"
  • programmes de l'utilisateurs
  • classeurs
  • dossiers personnels

Or dossiers, applications, classeurs et programmes ne contiennent pas forcément des informations, et peuvent contenir de simples fonctionnalités programmées, qui plus est potentiellement présentes d'origine sur d'autres modèles pourtant également conformes, et donc parfaitement légitimes.

Il y avait pourtant bien des façons possibles pour discriminer les informations au profit des fonctionnalités, comme :
  • Limiter la taille mémoire utilisable en mode examen.
    En effet, les candidats mettant des informations privilégiant souvent la quantité, et les informations avec des textes ou pire des images nécessitent énormément de place, contrairement aux fonctionnalités programmées.
  • Interdire l'édition pour les programmes présents en mémoire avant l'activation du mode examen, et contenant peut-être des textes ou commentaires.
    Interdire l'exécution des instructions d'affichage sur écran pour les programmes et applications présents en mémoire avant l'activation du mode examen.
    Interdire l'utilisation des variables chaînes de caractères pour les programmes et applications présents en mémoire avant l'activation du mode examen.
    En effet, le but d'une information c'est d'être affichable. Alors que le but d'une fonctionnalité programmée est de retourner un résultat.
  • Donner une certification aux programmes et applications ne contenant pas d'information, qu'ils proviennent du constructeur ou de tiers, et leur apposer une signature électronique interdisant leur effacement en mode examen.
  • ...

Dommage que des échanges en ce sens n'aient visiblement pas été abordés, car nous aurions bien volontiers accepté et même défendu et protégé une réforme juste.



Bref, les constructeurs appliquent, certes plus ou moins bien selon les modèles, ce que dit le cahier des charges. Cela ne les absout toutefois pas forcément de cette inégalité, puisque le cahier des charges a probablement été rédigé après consultation des constructeurs, histoire de savoir ce qu'ils pouvaient accepter de développer ou pas.

Même si nous sommes contre ce mode examen, nous n'avons jamais publié aucun outil permettant de s'en affranchir. Il y a quand même énormément de failles logicielles exploitables certes variant d'un modèle à un autre, mais les candidats seraient les premières victimes de tels outils, avec des sanctions très graves à la clé pouvant mettre une bonne partie de leur vie entre parenthèses. Cela ne veut toutefois pas dire que d'autres que nous n'ont pas les compétences pour comprendre comment fonctionne le mode examen et ne franchiront pas le pas. En effet la réforme est injuste et inégalitaire, et donc non respectable. Advienne que pourra.

Casio Emulateur Graph 90+E / fx-CG 3.10 enfin pour Mac

New postby critor » 31 Jan 2018, 17:49

Dans la foulée de la sortie de la mise à jour système 3.10.1 pour sa superbe Graph 90+E et ses anciens modèles fx-CG10/20, Casio avait également republié en version 3.10 son logiciel d'émulation fx-CG Manager Plus pour les utilisateurs de Windows.
Rappelons en passant que ces logiciels sont fournis avec une période d'essai gratuite de 90 jours.

Hélas, rien d'équivalent pour les utilisateurs de Mac qui devaient donc se contenter de rester avec la version précédente 3.00, et ne béficiaient donc pas de toutes les dernières améliorations.

Mais aujourd'hui l'attente est enfin terminée. Casio vient tout juste de nous mettre à disposition ce jour la version 3.10 de son logiciel d'émulation pour Mac. :bj:

Téléchargements :
Source : http://edu.casio.com/softwarelicense/index.php

Examens Mode examen déjà expérimenté concours DGFiP 2017

New postby critor » 31 Jan 2018, 16:46

Nous avions été très surpris en décembre dernier, du rétropédalage sans préavis avec l'abandon du mode examen aux concours de recrutement enseignant 2018. Cela alors que certains jurys en étaient encore jusqu'à la semaine d'avant à plancher sur les consignes en découlant, et que d'autres comme celui de l'Agrégation de SES en étaient déjà arrivés à la publication d'un protocole final.

4366Toutefois sache que pour les concours externes et internes de la DGFiP (Direction Générale des Finances Publiques), on n'a pas attendu le 1er janvier 2018, le mode examen ayant été expérimenté dès l'année dernière.

Se pourrait-il que les vérifications des candidats s'étant présentés avec une calculatrice graphique aient été plus complexes que prévu ? :#roll#:
Mystère même si ce ne serait absolument pas étonnant. Mais en tous cas ce n'est sûrement rien à côté des centaines de milliers de candidats qui vont passer les BAC et BTS 2018.

Mais bref, voilà quand même pour toi un petit aperçu de ce que pourront donner les nouvelles consignes en page de garde de tes sujets d'examens 2018.


Source sujets : https://www.economie.gouv.fr/recrutemen ... c-concours

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