Voici la présentation de 66, un jeu conçu pour notre concours de programmation Python 2024-2025.
Il s'agit d'une adaptation du jeu de cartes éponyme populaire en Europe centrale, et selon la légende inventé dans une auberge au numéro 66 Eckkamp à Paderborn en Allemagne.
Le 66 se joue à deux avec seulement 24 cartes qui sont, dans chacune des 4 couleurs :
Chaque manche se jouer avec des mains de 6 cartes.
Le joueur qui commence révèle une de ses cartes en main, et l'adversaire doit y répondre, remportant ou perdant alors le pli. L'objectif d'une manche est d'atteindre 66 points.
Après chaque coup, les joueurs complètent leur main en piochant dans le talon.
Au moment où l'un des joueurs pense avoir atteint ou dépassé 66 points, il doit l'annoncer, bien évidemment le plus tôt possible, ce qui termine la manche. Les points du joueur sont alors recomptés. Selon si le total donne 66 ou pas, ce dernier gagne ou perd des points de partie.
Si il n'y a aucune annonce, la manche se termine lorsqu'il n'est plus possible de piocher dans le talon, et le gagnant par défaut est celui ayant le score le plus élevé.
Le vainqueur d'une partie est le premier à cumuler 7 points de partie.
Il s'agit d'une adaptation du jeu de cartes éponyme populaire en Europe centrale, et selon la légende inventé dans une auberge au numéro 66 Eckkamp à Paderborn en Allemagne.
Le 66 se joue à deux avec seulement 24 cartes qui sont, dans chacune des 4 couleurs :
- l'as (valeur 11)
- le dix (valeur 10)
- le roi (valeur 4)
- la dame (valeur 3)
- le valet (valeur 2)
- le neuf (valeur 9)
Chaque manche se jouer avec des mains de 6 cartes.
Le joueur qui commence révèle une de ses cartes en main, et l'adversaire doit y répondre, remportant ou perdant alors le pli. L'objectif d'une manche est d'atteindre 66 points.
Après chaque coup, les joueurs complètent leur main en piochant dans le talon.
Au moment où l'un des joueurs pense avoir atteint ou dépassé 66 points, il doit l'annoncer, bien évidemment le plus tôt possible, ce qui termine la manche. Les points du joueur sont alors recomptés. Selon si le total donne 66 ou pas, ce dernier gagne ou perd des points de partie.
Si il n'y a aucune annonce, la manche se termine lorsqu'il n'est plus possible de piocher dans le talon, et le gagnant par défaut est celui ayant le score le plus élevé.
Le vainqueur d'une partie est le premier à cumuler 7 points de partie.
L'interface présente bien les divers éléments du jeu :
- main du joueur, face visible
- main de la calculatrice, face cachée
- carte déterminant la couleur d'atout
- talon ou pioche
- piles des plis remportés pour chaque joueur, à droite de leurs mains
Le jeu se joue avec les touches
1à
6correspondant aux 6 cartes que tu as en main, comptées de gauche à droite (peut-être aurait-il été pertinent d'afficher les numéros en question).
Une alternative plus intuitive surtout pour ce genre de jeu aurait pu être d'exploiter le pointeur souris de la calculatrice.
En pratique, précisons que le jeu suit ici des règles simplifiées :
- pas de notion de partie, le jeu ne te laisse jouer qu'une seule manche et sera ensuite à relancer
- pas de notion d'annonce des 66 points, le gagnant est le premier joueur à les atteindre ou dépasser (si bien qu'il n'y avait plus d'intérêt à masquer les scores)
Si l'interface est soignée et s'affiche sans défaut, Marc semble y avoir eu moins de temps à consacrer sur les graphismes :
- les couleurs et figures des cartes ne sont pas dessinées mais écrites
- le contenu de l'écran est redessiné intégralement à chaque action, de façon inutile puisque la plupart des éléments ne bougent pas
- il n'y a pas d'utilisation du double buffering que permet la machine, ce qui provoque à chaque action une série de clignotements peu esthétiques de l'ensemble des éléments de l'interface (qui plus est en double puisqu'il y a 2 joueurs)
Téléchargement : archives_voir.php?id=4617152