3. Les caractéristiques du parc résidentiel
DownloadTélécharger
Actions
Vote :
ScreenshotAperçu

Informations
Catégorie :Category: mViewer GX Creator Lua TI-Nspire
Auteur Author: yespapa06
Type : Classeur 3.6
Page(s) : 2
Taille Size: 54.40 Ko KB
Mis en ligne Uploaded: 01/05/2017 - 22:17:56
Uploadeur Uploader: yespapa06 (Profil)
Téléchargements Downloads: 71
Visibilité Visibility: Archive publique
Shortlink : https://tipla.net/a933874
Type : Classeur 3.6
Page(s) : 2
Taille Size: 54.40 Ko KB
Mis en ligne Uploaded: 01/05/2017 - 22:17:56
Uploadeur Uploader: yespapa06 (Profil)
Téléchargements Downloads: 71
Visibilité Visibility: Archive publique
Shortlink : https://tipla.net/a933874
Description
3. Les caractéristiques du parc résidentiel
1. Quelle utilisation est faite d'un logement ?
Un logement peut être utilisé comme résidence principale,
secondaire ou rester vacant.
Résidence secondaire 9,4 %
Logements vacants 7,8 %
Résidence principale 82,8 %
Les résidences principales
Selon l'INSEE, une résidence principale est un logement occupé
de façon habituelle pendant au moins huit mois de l'année, à
titre principal, par au moins une personne du ménage.
– 82,8 % sont des résidences principales
En 10 ans, ce nombre a augmenté de 10,4 %
– En 2014, 78 % de ces résidences étaient situées en zone
urbaines dont plus de 16 % dans l'agglomération parisienne
– Ce parc est vieillissant. Un quart des résidences principales
ont été construite avant 1949 et quasiment deux tiers entre 1949
et 1999.
— la surface moyenne par personne est en augmentation. Elle
atteint aujourd'hui 40 m² alors qu'elle n'était que de 25 m² en 1973.
— 61 % des logements ont au moins 4 pièces et plus.
– La sur occupation ( l'indice d'occupation et l'étude de la surface
du logement par rapport à la composition du ménage ) et le
surpeuplement (l'indice de peuplement est l'étude du nombre
de pièces par rapport à la composition du ménage) sont en
baisse. Cela s'explique d'une part par le fait que les logements
nouvellement construits sont de taille plus conséquente et
d'autre part par le fait que le nombre de personnes par
ménage est en baisse.
Notons enfin que la part des logements sans confort sanitaire
(présence ou absence d'eau courante, WC…) n'est plus que
de 1,4 % contre 15 % il y a 30 ans. Un décret du 6 mars 1987
à fixé les conditions minimales de confort et d'habitabilité
auxquelles doivent répondre les locaux mis en location. La loi
SRU du 13 décembre 2000 complète par le décret du 30 janvier
2002 a introduit la notion de logement décent.
2. Les résidences secondaires
Une résidence secondaire est un logement utilisé
occasionnellement pour le weekend, les loisirs ou les vacances.
– 9,4 % des logements sont des résidences secondaires
(la France détient le record mondial du nombre de résidence
secondaire).
En 10 ans, ce chiffre a augmenté de 6,1 %. Ces résidences sont
nombreuses en zones littorales et rurales (Charente maritime, sud
de la France par exemple).
Si ce parc est relativement ancien, on observe de plus en plus de
construction neuves.
Localement, ces résidences engendre des retombées
économiques non négligeables du fait de leur construction,
de l'entretien, des dépenses touristiques. Elles alimentent
également la commune en taxes d'habitation, taxes foncières.
Toutefois, ces résidences sont peu fréquentées (42 nuits par an).
3. Les logements vacants.
Selon l'INSEE, un logement vacant est un logement inoccupé
se trouvant dans l'un des cas suivants :
– Proposé à la vente, a la location
– Déjà attribué un acheteur ou un locataire et en attente
d'occupation.
– En attente de règlement de succession.
– Conserver par un employeur pour un usage futur au profit
d'un de ses employés
– Gardé vacant et sans affectation précise par le propriétaire
(exemple un logement très vétuste…).
7,8 % des logements sont des logements vacants. En 10 ans
ce chiffre à augmenté de 37,1 %.
Un paradoxe alors que l'on parle de plus en plus de pénurie de
logements.
Comment expliquer une telle augmentation ?
D'une part, les programmes de défiscalisation ont conduit à la
construction de logements neufs dans des communes qui n'en
avaient pas besoin.
Les surfaces construites sont réduites et ne correspondent pas
à la demande.
Le phénomène est identique dans le parc social. La loi impose
aux communes la construction de 20 % de logements sociaux.
Or, dans certaines communes, en l'absence de demande, ces
logements restent vacants.
D'autres part, certains propriétaires garde volontairement leur
logement vide considérant ce bien comme un investissement
qui s'appréciera avec le temps ou le réserve à la location
estivale jugée plus rentable qu'une location à l'année.
2. Le statut d'occupation : propriétaire ou locataire ?
Propriétaire : accédants 70 %. Non accédants 30%
Locataire : secteur privé 55,7%. Secteur social 44,3%.
Les propriétaires
On distingue deux catégories de propriétaires :
– Les propriétaires accédant, propriétaire ayant acquis leur
résidence principale et qui ont un crédit en cours pour l'achat
de ce bien.
– Les propriétaires mon accident qui n'ont pas de crédit en
cours pour l'achat de la résidence principale.
57,7 % des Français sont propriétaires de leur résidence
principale. Parmi les propriétaires, 70 % sont des propriétaires
accédants. En 10 ans, on note une augmentation des
propriétaires accédants de 24 %. Les propriétaires non
accédants sont 30 % et en 10 ans leur nombre a baissé de 7,8 %.
Les locataires
Parmi les locataires, 55,7 % sont des locataires du parc
privé (en hausse de 10,7 % sur les 10 dernières années)
et ceux du secteur social 44,3% ( en hausse de 9,4 % sur 10 ans ).
1. Quelle utilisation est faite d'un logement ?
Un logement peut être utilisé comme résidence principale,
secondaire ou rester vacant.
Résidence secondaire 9,4 %
Logements vacants 7,8 %
Résidence principale 82,8 %
Les résidences principales
Selon l'INSEE, une résidence principale est un logement occupé
de façon habituelle pendant au moins huit mois de l'année, à
titre principal, par au moins une personne du ménage.
– 82,8 % sont des résidences principales
En 10 ans, ce nombre a augmenté de 10,4 %
– En 2014, 78 % de ces résidences étaient situées en zone
urbaines dont plus de 16 % dans l'agglomération parisienne
– Ce parc est vieillissant. Un quart des résidences principales
ont été construite avant 1949 et quasiment deux tiers entre 1949
et 1999.
— la surface moyenne par personne est en augmentation. Elle
atteint aujourd'hui 40 m² alors qu'elle n'était que de 25 m² en 1973.
— 61 % des logements ont au moins 4 pièces et plus.
– La sur occupation ( l'indice d'occupation et l'étude de la surface
du logement par rapport à la composition du ménage ) et le
surpeuplement (l'indice de peuplement est l'étude du nombre
de pièces par rapport à la composition du ménage) sont en
baisse. Cela s'explique d'une part par le fait que les logements
nouvellement construits sont de taille plus conséquente et
d'autre part par le fait que le nombre de personnes par
ménage est en baisse.
Notons enfin que la part des logements sans confort sanitaire
(présence ou absence d'eau courante, WC…) n'est plus que
de 1,4 % contre 15 % il y a 30 ans. Un décret du 6 mars 1987
à fixé les conditions minimales de confort et d'habitabilité
auxquelles doivent répondre les locaux mis en location. La loi
SRU du 13 décembre 2000 complète par le décret du 30 janvier
2002 a introduit la notion de logement décent.
2. Les résidences secondaires
Une résidence secondaire est un logement utilisé
occasionnellement pour le weekend, les loisirs ou les vacances.
– 9,4 % des logements sont des résidences secondaires
(la France détient le record mondial du nombre de résidence
secondaire).
En 10 ans, ce chiffre a augmenté de 6,1 %. Ces résidences sont
nombreuses en zones littorales et rurales (Charente maritime, sud
de la France par exemple).
Si ce parc est relativement ancien, on observe de plus en plus de
construction neuves.
Localement, ces résidences engendre des retombées
économiques non négligeables du fait de leur construction,
de l'entretien, des dépenses touristiques. Elles alimentent
également la commune en taxes d'habitation, taxes foncières.
Toutefois, ces résidences sont peu fréquentées (42 nuits par an).
3. Les logements vacants.
Selon l'INSEE, un logement vacant est un logement inoccupé
se trouvant dans l'un des cas suivants :
– Proposé à la vente, a la location
– Déjà attribué un acheteur ou un locataire et en attente
d'occupation.
– En attente de règlement de succession.
– Conserver par un employeur pour un usage futur au profit
d'un de ses employés
– Gardé vacant et sans affectation précise par le propriétaire
(exemple un logement très vétuste…).
7,8 % des logements sont des logements vacants. En 10 ans
ce chiffre à augmenté de 37,1 %.
Un paradoxe alors que l'on parle de plus en plus de pénurie de
logements.
Comment expliquer une telle augmentation ?
D'une part, les programmes de défiscalisation ont conduit à la
construction de logements neufs dans des communes qui n'en
avaient pas besoin.
Les surfaces construites sont réduites et ne correspondent pas
à la demande.
Le phénomène est identique dans le parc social. La loi impose
aux communes la construction de 20 % de logements sociaux.
Or, dans certaines communes, en l'absence de demande, ces
logements restent vacants.
D'autres part, certains propriétaires garde volontairement leur
logement vide considérant ce bien comme un investissement
qui s'appréciera avec le temps ou le réserve à la location
estivale jugée plus rentable qu'une location à l'année.
2. Le statut d'occupation : propriétaire ou locataire ?
Propriétaire : accédants 70 %. Non accédants 30%
Locataire : secteur privé 55,7%. Secteur social 44,3%.
Les propriétaires
On distingue deux catégories de propriétaires :
– Les propriétaires accédant, propriétaire ayant acquis leur
résidence principale et qui ont un crédit en cours pour l'achat
de ce bien.
– Les propriétaires mon accident qui n'ont pas de crédit en
cours pour l'achat de la résidence principale.
57,7 % des Français sont propriétaires de leur résidence
principale. Parmi les propriétaires, 70 % sont des propriétaires
accédants. En 10 ans, on note une augmentation des
propriétaires accédants de 24 %. Les propriétaires non
accédants sont 30 % et en 10 ans leur nombre a baissé de 7,8 %.
Les locataires
Parmi les locataires, 55,7 % sont des locataires du parc
privé (en hausse de 10,7 % sur les 10 dernières années)
et ceux du secteur social 44,3% ( en hausse de 9,4 % sur 10 ans ).