critor wrote:A partir du moment où tu es informé d'un problème, si tu persistes dans l'erreur cela ajoute à la faute initiale et cette fois-ci c'est clairement de ta faute.
E.Leclerc, ou un de ses intermédiaires ou encore la MPE de la DGESCO ont clairement fait une erreur quelque part.
Etant maintenant informé du problème, continuer pour E.Leclerc à vouloir écouler sans avertissement et surtout en 2020 le stock de calculatrices à mode examen défectueux / non conforme dont l'emballage prétend le contraire est clairement une arnaque, et si le groupe pouvait rejeter la faute initiale sur un tiers là ce n'est clairement plus le cas.
Cela ne fait que témoigner du peu de respect qu'a visiblement cette enseigne envers ses clients.
C'est bien le groupe E.Leclerc dans son ensemble qui est fautif, et cela peu importe que les magasins arborant son nom soient franchisés ou indépendants. C'est bien de la responsabilité du groupe E.Leclerc de faire la démarche auprès de chaque magasin pour faire retirer ou ré-étiqueter comme non conformes les produits défectueux.
Cela n'a visiblement pas été fait, la formulation me semble donc méritée, même si je veux bien prendre le temps d'y réfléchir. Merci pour ton conseil.

Ok je vais donc reformuler... En novlangue inattaquable cela donne :
Et bien évidemment, les magasins E.Leclerc continuent à afficher et donc probablement vendre leurs catastrophes de Lexibook GC3000FR et Esquisse GCEXFR, cette dernière n'étant même pas conforme aux spécifications du mode examen français bien que l'emballage prétendre mensongèrement le contraire (...) on est d'ailleurs en droit de se demander si cette démarche ne relève pas de l'escroquerie, qui est le fait d'user des fausses qualités pour tromper une personne.
Cela n'enlève rien à la force de propos, mais tu ne généralises pas dans un premier temps puis tu ne propose pas un exemple. En procédant ainsi, tu donnes un exemple
PUIS tu proposes une généralisation, le lecteur comprendra cette généralisation mais toi tu ne l'as pas écris, tu as juste posé une question !
Escroquerie ?
Tu n'as pas besoin de prouver que tu es informé du problème pour que l'escroquerie soit caractérisée.
Ta phrase "vouloir écouler sans avertissement et surtout en 2020 le stock de calculatrices à mode examen défectueux / non conforme dont l'emballage prétend le contraire est clairement une arnaque" ne pose elle aucun problème, si tu l'avais formulé ainsi : "E.Leclerc est un arnaqueur car (...)" là cela posait problème...
Le pire dans tout ça, c'est que même si les fait sont vrais, tu peux être attaqué en
diffamation car "Une diffamation est l'allégation ou l'imputation d'un fait qui porte atteinte à l'honneur ou à la considération d'une personne. Peu importe que le fait en question soit vrai ou faux, mais il doit être suffisamment précis pour faire l'objet, sans difficultés, d'une vérification et d'un débat contradictoire."
C'est pourquoi ma formulation inversé elle pose moins de problème. Tu n'affirmes pas, tu poses une question ! Et cela peut être beaucoup plus violent de poser une question que d'affirmer un truc.
Etudiant j'ai crée / dirigé / assemblé / pliée / distribué un journal étudiant dans mon université.
Je faisais à peu près tout sauf l'orthographe que je déléguais à une tierce personne de confiance.
Une de nos cibles favorites était alors le CROUS, qui avait augmenté à l'occasion de la grande arnaque - le passage à l'Euro - les prix de 10,20, 50% sur certains produits.
Un jour on a eu vent de rumeur de détournement d'argent, et en parallèles certains étudiants affirmaient avoir trouvé un cafard dans un sandwich. On posait des questions sous la forme d'un Quiz.
Un étudiant affirme avoir trouvé un cafard dans un sandwich du CROUS.
A. Il avait probablement faim lui aussi.
B. Moi aussi j'en ai vu dans les sandwich.
C. Il faut avoir le goût du risque pour manger au CROUS.
D. Le cafard a t"il été lui aussi augmenté ?
On a beaucoup rigolé je reconnais ...