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Pour le sujet Modification de l'activité synaptique par des molécules, il y a eu le recto-verso de la fiche sujet candidats, accompagné de la fiche protocole.Mais aussi et surtout, la fiche barème destinée à l'évaluateur, avec donc les indications de tout ce qui sera regardé.
Photos ci-contre bien évidemment floutées jusqu'à les rendre inexploitables pour qui ne dispose pas du document d'origine.
De façon peut-être moins impressionnante mais tout aussi surprenante et utile, il y a eu aussi la fiche d'aide majeure pour la datation.Notons que cette année la majorité des candidats ne disposent apparemment pas du numéro de leur sujet, celui-ci étant peut-être masqué lors du polycopiage.
C'est une nouveauté totalement stérile, car n'empêchant absolument pas la collecte des témoignages comme on a vu, cela empêche juste de remettre en ordre la liste - ce qui ne gênera pas les candidats.
Mais c'est une nouveauté surtout néfaste. En effet, les documents 2017 ne comportant plus l'entête permettant de les identifier en tant que sujet d'ECE, les administrateurs du groupe Facebook ne peuvent plus les supprimer immédiatement pour mettre fin à l'éventuelle infraction.
Ils doivent prendre le temps de réfléchir, de voir si c'est un document déjà disponible sous Google en en recherchant des passages (car cela pourrait très bien être un sujet d'une année précédente ou un sujet posé pendant l'année par un enseignant qui a juste réutilisé la même présentation - chose dans les deux cas non problématique), et à défaut de réfléchir à l'adéquation entre le document partagé et les témoignages collectés.
Mais qui a eu cette idée stupide ?...
Pas de conséquences sur l'épreuve de métropole puisque les sujets y seraient différents, mais aucune raison que cela ne se reproduise pas...
En tous cas, il ne sert à rien de continuer à durcir démesurément les règles d'organisation de l'épreuve au point de tendre de plus en plus vers l'inapplicable, ne faisant ainsi que les décrédibiliser, quand la base n'est déjà même pas appliquée correctement vu que des candidats sont apparemment capables de prendre en photo leurs documents pendant l'épreuve, ou pire de repartir avec.
