Je n'ai jamais dit qu'interdire une calculatrice programmable aux examens faciliterait la vie des élèves
Ce n'est pas le sujet.
Mais à partir du moment où l'interdiction de matériel programmable aux exams deviendrait officiel et généralisé, les sujets seront écrits en fonction, rassure-toi. Les bacheliers des années 70- 80 s'en accomodaient, et ceux qui se présentaient au bac C ou E avec leur Casio fx-180P ou leur TI-57 (programmable, certes, mais très rudimentaire, et non alphanumérique) n'auraient pas à rougir aujourd'hui du niveau de maths de l'époque. Je te renvoie aux propos de Critor, quelques lignes plus haut.
Bref, je ne vois pas ce qu'on peut réellement opposer à cette idée, à part qu'elle gonflerait les élèves qui auraient l'impression de bosser "sans filet". Mais au moins, ça rendrait caduque le "mode examen" tellement critiqué (pour revenir au sujet initial).
Attention : en cours et à la maison, il faut évidemment continuer à apprendre à programmer. On est en 2017, je ne parle pas d'un retour au moyen-âge...
D'autant plus que les outils numériques actuels sont de petits bijoux, nous en sommes tous passionnés ici, ils sont souvent initiateurs de vocations, et il est hors de question de se priver des possibilités qu'ils offrent. Sauf aux exams
Critor, je t'autorise à me contredire si je dis n'importe quoi