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¡ Viva la Revolución !

Pour faire court, j'ai fait comprendre entre autres à l'équipe NumWorks que de se rendre coupable d'infraction au droit d'auteur quand on fait une pull request en tant qu'humble contributeur externe n'est pas une solution viable et qu'il faut faire quelque chose à ce sujet, maintenant.

Faites la Revolución avec moi!

https://github.com/numworks/epsilon/iss ... -389669710

Je discute ici, c'est quand meme plus facile en francais.
Ce serait plus clair si on avait le projet de licence sous les yeux.
Si on peut faire un fork, des modifications et redistribuer le firmware correspondant en conservant la licence CC-BY-NC-SA, ca parait ok, parce qu'alors il n'est plus obligatoire de signer le CLA de Numworks, qui ne peut donc plus s'approprier automatiquement le droit d'utiliser la contribution (puisque celle-ci est NC), mais je me mefie, Numworks est fort capable de rajouter une clause les autorisant a utiliser commercialement toute modification publiee.

Cf. le point 3 et le paragraphe d'en dessous, de la reponse de Romain, concernant le CLA et leur autorisation de reutilisation : https://github.com/numworks/epsilon/iss ... -389793076
En gros, il (leur) faut trouver un moyen pour que les gens voulant contribuer au repo de numworks (donc c'est bel et bien leur intention de voir leur patch merge upstream et donc la modif sera commercialement utilisee) puisse le faire. Peut etre un appendice a la CC ou quelque chose du genre (ou alors justement, ca passe par le CLA) precisant que quand on fait une PR avec le CLA signe, ca veut dire que le code du patch aura le droit d'tre utilise commercialement par numworks.

Le passage en GPL n'est peut-etre pas impossible vu qu'il est listé, si suffisamment de gens arrivent a trouver des arguments convaincants (pour moi c'est un peu grillé, Goyet n'a visiblement pas apprecie que je cite des extraits de medias ou il jouait sur l'ambiguite du terme open-source).
Je m'interroge sur la raison reelle de ce subit regain d'interet de Numworks pour le changement de licence. Mon hypothese est que le modele prevu pour la rentree avec clavier plus lisible aura aussi plus de flash : a l'heure actuelle les eventuels contributeurs potentiels ne doivent pas etre tres motives vu la taille restante disponible (sachant qu'elle diminuera encore avec les fonctionnalite deja annoncees pour la rentree), meme s'ils sont prets a accepter la licence actuelle.

Ce n'est pas pour doucher vos espoirs, mais aucun nouveau modèle n'a été soumis pour validation à la FCC :
https://fccid.io/2ALWP

Chez TI non plus d'ailleurs, même si pour la rentrée 2019 il y a encore le temps à la différence :
https://fccid.io/V7R

Même si soumis sous confidentialité, normalement les entrées apparaissent quand même, même si les documents de tests/validation ne sont alors pas accessibles pendant la période de confidentialité requise.

Il n'y a rien a faire si le clavier est change?

Si c'est juste le clavier, je ne pense pas.

En fait, je ne sais même pas pourquoi NumWorks est passé par la FCC, vu que la calculatrice n'inclut pas de puce de communication par voie hertzienne.

TI c'est différent, vu que les Nspire peuvent accueillir les modules WiFi externes TI-Navigator .

critor a écrit:En fait, je ne sais même pas pourquoi NumWorks est passé par la FCC, vu que la calculatrice n'inclut pas de puce de communication par voie hertzienne.
.

je ne suis pas sur, mais c'est peut être à cause des interférences, comme quand les caméscopes sont interdit dans les avions, ... même si il n'y a pas de radio dans la machine ... mais cela peut perturber (on dit que c'est de la C.E.M.) les communications voire l'électronique à distance

Oui, mais par exemple la HP Prime n'a jamais été soumise à la FCC malgré un design de PCB assez similaire.
Les Casio et TI non-Nspire ne passent pas davantage par la FCC non plus.
Donc je m'interroge sur qu'est-ce qui serait susceptible dans la NumWorks, de créer plus d'interférences qu'une HP Prime.

Bon, on ne peut pas dire grand chose alors. Surtout si Numworks commercialise des calculatrices potentiellement plus musclees en memoire d'abord en France.