Avec les techniques de miniaturisation des composants de plus en plus
amélioré, on est capable de faire des appareils électroniques toujours
plus puissant, toujours plus petit et toujours moins cher.
Vous me croyez pas ?

Prenons la Super Nintendo : Processeur de 3,58 Mhz, Couleurs 16
Bits et 128 Kio de RAM. Le tout environ 297 euros environ
(1920FF). Aujourd'hui pour quasiment le même prix, nous avons
la playstation 3 avec : processeur de 3,2 GHz, sortie vidéo HD
1080p et 320 Go de stokage.
Toujours pas convaincu ? La raspberry pi est l'odinateur le moins cher
(~20 euros) avec une vitesse de 700 Mhz, 256 Mo de RAM et sortie vidéo
HD !
Nos calculatrices d'aujourd'hui qui ne dépasse pas les 200 Mhz font
pâles figure face à la raspberry pi.

On se dit alors, qu'à l'image de la raspberry pi, la calculatrice de
demain doit être puissante, avoir un bel écran et qui doit couter pas
plus de 60 euros.

Mais pas uniquement !


Avec la quatrième spécialité dite « Informatique et Sciences du
Numérique », la programmation fait dorénavant partit intégrante
du programme scolaire. Pour enseigner simplement la
programmation, on peut tout à fait intégrer dans les cahiers de
mathématiques des puces NFC intégré dans les pages qui
présentent du code. Grâce à un lecteur intégré dans la
calculatrice, le code est transféré et enregistré pour exécuter
le programme. Libre ensuite à l'éditeur du cahier de l’utiliser
de différentes manières : en plus du scénario précédent, un
second consisterai a faire transféré un code buggé, comme par
exemple une erreur de syntaxe, une variable pas ou mal déclaré,
ou encore une boucle infinie, afin que l'élève recherche et
modifie cette erreur. Ça peut être un bon exercice pour mieux
comprendre les erreurs que peuvent renvoyer la calculatrice et
apprendre des erreurs courantes pour ne pas les refaire à
l'avenir.

Quand on en vient à parler de programmation sur calculatrice, on
pense directement à l'écran. Avec l'avènement du tout tactile :
smartphones, tablettes tactiles, bornes d'information de centre
commercial et autres, certains pensent que la calculatrice doit
suivre ce mouvement et être aussi tactile. C'est à la fois
séduisant et une erreur.
Une calculatrice composé uniquement d'un écran tactile permettrait de
modifier la disposition des touches en fonctions du menu dans lequel on
se trouve. Dans le mode calcul, on aurait un plus grand nombres de
touches pour des fonctions mathématiques : trigonométrie, intégrale,
dérivée, primitives, et bien d'autres fonctions utilisées couramment.
Mais dans le mode "graph", le second avantage que l'on peut trouver à
l'écran tactile inegral est la possibilité de masquer le clavier virtuel
pour se concentrer sur la courbe ou afficher un tableau de valeur en
même temps que la courbe.
Mais au niveau des désavantages, l'écran tactile intégral risque d'être
imprécis et fragile. Bon nombre d'écran de smartphone se brisent en les
fessant tomber accidentellement. L'environnement scolaire sera fatal
pour la calculatrice tactile : secousses du sac, pression des livres
sur l'écran, chute depuis la table sont quelques exemple de ce qu'il
pourrait arriver.

En conclusion, la calculatrice de demain doit être :
* Puissante : 700 Mhz, 256 Mo de RAM et sortie vidéo ;
* Communicante : avec le support de la technologie NFC ;
* Économique : prix de vente avoisinant 60 euros.

pour le concours TI-Planet "Imagine la calculatrice de demain"
par tsergent